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Jules Charles Joachim Malézieux

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Peinture : Marie Le Cat

Marie Le Cat
Marie Le Cat

Jules Charles Joachim Malézieux
Marie Le Cat


Technique : Aquarelle
Support : Papier
Sujet : Dalle funéraire de Marie Le Cat
Localisation : Basilique-de-Saint-Quentin
Date : inconnue - Lieu : Saint-Quentin

Marie Le Cat par Jules Charles Joachim Malézieux

Marie Le Cat Joachim Malezieux architecte peintres et sculpteurs Peinture sculpture

Marie Le Cat : Dessin aquarellé de Jules Charles Joachim Malézieux à partir de la dalle funéraire à effigie gravée de Marie Le Cat, béguine, décédée en 1320 à Saint-Quentin. Provenance :  Ancienne collégiale royale, actuellement basilique Saint-Quentin. Cette dalle funéraire est celle de Marie Le Cat, ou Li Kat en picard, décédée à Saint-Quentin le 23 juin 1320. Elle était la fille de Vautier (c'est-à-dire : Gauthier) Le Cat, bourgeois de cette même ville, et s'était engagée dans la vie religieuse puisqu'elle est mentionnée comme béguine. La ville comptait alors au moins deux béguinages.  Cette oeuvre soignée, caractéristique de l'art funéraire du début du 14e siècle avec son riche décor architecturé et le motif des deux chiens, symbole de fidélité, n'était pas destinée au dallage de la collégiale. Elle provient en effet de l'église paroissiale de Tous-les-Saints, ruinée en 1557 lors de la prise de la ville de Saint-Quentin, et démolie en 1563 pour faire place à de nouvelles fortifications. Cette dalle est découverte en 1840, avec des fragments d'une autre pierre tombale, à l'occasion de travaux réalisés à l'emplacement de cette ancienne église pour l'établissement d'un marché franc. Elle gagne alors les collections de la Société Académique de Saint-Quentin. Quand l'architecte J. Malézieux la dessine, vers 1876, elle se trouve en dépôt au Musée de Saint-Quentin (semble-t-il). A cette époque, la dalle conserve encore des incrustations de marbre blanc pour rendre le visage et les mains. La pierre rejoint la basilique vers 1880, et elle est installée contre un mur de la deuxième chapelle nord de la nef ou chapelle Sainte-Barbe. Depuis la période de restauration consécutive à la Première Guerre mondiale, elle se dresse dans la quatrième chapelle nord de la nef, actuellement consacrée à Sainte Thérèse de Lisieux.

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